Ce matin avait lieu le premier café socio-tech, un petit retour sur les sujets. Je ne sais pas quelles étaient les attentes des autres mais de mon côté c’est ce que je visais, un total de 7 personnes, engagées (la plupart du temps) dans une même conversation et beaucoup de connaissances autour de la table. Certains des sujets donc:
- Infomutations et le besoin d’avoir des “traducteurs” entre la dernière génération ou le papier à (avais) prépondérance et la suivante.
- Why Can’t We Read Anymore?
- Les nouveaux formats de communications (long vs court, images, nouveaux formats de livres à la Amazon Singles).
- Données ouvertes à Montréal.
- Procuste.
- Les votes de contrats à Montréal sans que les élus n’aient le temps de les lire.
- Un contrat de plan de classification des documents de 350 000 $ à Montréal.
- L’écart entre les compétences requises dans le future et ce qui est enseigné à l’école.
- Les standards de diplôme en gestion des ressources humaines.
- La valeur déclinante des diplôme dans ce qu’ils apportent dans la tête des diplômés mais grandissante en terme de dollars.
- La ville intelligente, plus particulièrement la vision d’Adam Greenfield dans son cours livre Against The Smart City.
- Mon usage de “socio-tech” tiré de l’usage du terme “sociotechnical” par Strange Telemetry et “tribu” associée.
- [Mises à jour ci-bas. (Certains ajouts via les participants par Facebook.]
- Les “solutions” technologiques qui obligent les organisations à adapter leurs processus à des structures de l’ère industrielle (silos, rétention de l’info).
- Les organisations qui sont à la merci de consultants qui ne sont pas capables de repérer et d’interpréter les changements.